Le Gouvernement profite du Coronavirus pour étendre la culture de mort…

Publié par AFC le

Profitant de la crise et de l’inattention des Français légitimement préoccupés par la situation et ses conséquences, le Gouvernement vient de décréter, discrètement et sournoisement, un élargissement de l’avortement en étendant l’IVG médicamenteuse à domicile de 7 à 9 semaines (Arrêté Ministériel publié au Journal Officiel du 15 avril 2020).

Avortement : le confinement ne doit pas aggraver la loi

Ils profitent vraiment de la période pour aller toujours plus loin sur l’avortement !!!

Nous entendons tous les jours lors du point presse de Jérôme Salomon, DG santé, que les hôpitaux se réorganisent dans le cadre du coronavirus. Ainsi, « toute activité chirurgicale ou médicale non urgente, et sans préjudice de perte de chance pour les patients » est déprogrammée.

Il semble qu’une pratique soit considérée comme vitale à la nation pour de nombreux médecins et politiques : l’avortement.

Au début du confinement, la sénatrice socialiste avait déposé un amendement pour allonger le délai légal d’avortement à 14 semaines. Heureusement, l’amendement n’est pas passé.

Mais la sénatrice socialiste revient à la charge dans une tribune publiée dans Le Monde, accompagnée de l’ancienne ministre Roselyne Bachelot, Anne Hidalgo, Marisol Tourraine, Najat Vallaud-Belkacem, ainsi que de nombreux médecins

  • Nous souhaitons que les avortements puissent être autorisés par voie médicamenteuse au domicile jusqu’à neuf semaines d’aménorrhée, soit sept semaines de grossesse.
  • nous demandons que les mineures soient dispensées du délai de quarante-huit heures qui leur est actuellement imposé avant leur IVG et puissent bénéficier d’une IVG dans la foulée de leur première consultation
  • Nous souhaitons pouvoir, à titre exceptionnel pendant la durée du confinement, réaliser des aspirations jusqu’à seize semaines d’aménorrhée, soit quatorze semaines de grossesse.

Voici ce qu’ils veulent MAINTENANT pour étendre le droit à l’avortement ! Disons NON !

Je ne vous apprendrais rien en vous précisant que le caractère exceptionnel de ces mesures sera oublié afin de devenir la « norme », la pratique courante au nom du droit des femmes et du progrès.

Alors qu’à longueur de journée, les Français sont fiers des médecins, des infirmiers, etc. qui se battent chaque minute, sans moyens, pour sauver des hommes et des femmes du Coronavirus, montrant l’importance de la vie… Il faudrait profiter ce moment pour tuer encore plus tôt, plus vite les plus faibles ?

Il est temps de dire NON, de s’opposer aux signataires de cette tribune et à l’ensemble des mesures qu’ils proposent !

Voici ce qu’ils veulent MAINTENANT pour étendre le droit à l’avortement ! Disons NON !

Vous trouverez ci-dessous, les principaux passages de la tribune

« Ainsi, nous avons maintenu ouvertes les consultations et favorisé chaque fois que c’était possible les IVG médicamenteuses à domicile, même si on ne peut éviter le déplacement des patientes, car la télémédecine est malheureusement impossible légalement dans cette situation.

Nous avons également augmenté les capacités pour les avortements sous anesthésie locale, car les blocs opératoires de tous les établissements ont été transformés en salles de réanimation, et organisé des partenariats avec des structures privées pour la prise en charge des avortements sous anesthésie générale.

Des problèmes encore

  • Nous souhaitons que les avortements puissent être autorisés par voie médicamenteuse au domicile jusqu’à neuf semaines d’aménorrhée, soit sept semaines de grossesse.
  • nous demandons que les mineures soient dispensées du délai de quarante-huit heures qui leur est actuellement imposé avant leur IVG et puissent bénéficier d’une IVG dans la foulée de leur première consultation
  • Nous souhaitons pouvoir, à titre exceptionnel pendant la durée du confinement, réaliser des aspirations jusqu’à seize semaines d’aménorrhée, soit quatorze semaines de grossesse.

Ces difficultés vont obliger nombre de femmes à conserver leur grossesse contre leur gré, mettant en danger leur autonomie et l’avenir des enfants nés dans ces conditions.

Nous y sommes prêt(e)s, et sommes également prêt(e)s à nous mettre hors-la-loi pour appliquer ces mesures

Ce texte a reçu le soutien de : Roselyne Bachelot, ancienne ministre de la Santé ; Guillaume Gou ! ier-Cha, député du Val-de-Marne (LRM) ; AnneHidalgo, maire de Paris, socialiste ; Laurence Rossignol, sénatrice socialiste, ancienne ministre des droits des femmes ; Yvette Roudy, ancienne ministre des droits des femmes ; Marisol Touraine, ancienne ministre de la Santé ; Najat — Vallaud-Belkacem, ancienne ministre des droits des femmes. Liste complète des soutiens au texte sur le site IVG-Covid« 

Voici ce qu’ils veulent MAINTENANT pour étendre le droit à l’avortement ! Disons NON !

SIGNEZ LA PETITION

Pour plus d’informations:

https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/03/31/il-faut-proteger-les-droits-des-femmes-et-maintenir-l-acces-a-l-avortement_6034997_3232.html

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